vendredi 23 octobre 2015

La famille Voltaire naufragée



Cher lecteur,
 
Aujourd'hui, je vous soumet cette nouvelle, on a écrit cette nouvelle durant l'atelier d'écriture de l'année scolaire 2006-2007, on était deux sur cette écrit. Cette partie que je vous offre c'est mon travail, je ne vous mets pas la seconde étant donné que c'est le travail du amie. Je vous laisse donc à votre lectures.

Nous avons décidé, ma sœur jumelle, Ellye, et moi, Dawny Voltaire, de vous raconter ce qui nous est arrivé, il y a tout juste un an. Nous l'écrivons en souvenir de notre Éric qui est mort en nous sauvant de cette île scientifiquement monstrueuse. Je vous raconterai la première partie et ma sœur, la seconde. Chaque partie sera écrite en fonction de ce qui nous caractérise, autrement dit ce qui nous ressemble le plus.

Donc un jour en plein été, notre mère Marguerite ayant gagné une grosse somme d'argent à une loterie décida avec notre père de louer un bateau pour deux mois et nous faire ainsi une surprise. Le lendemain du début des grandes vacances, nos parents, ma sœur et mon frère John ainsi que notre chienne Bill, partîmes vers six heures du matin de la maison en voiture pour deux mois en mer. Nous avions chacun ce qui était nécessaire, moi comme d'habitude j'avais emmené tous mes livres sur la nature. Ma soeur étant très coquette, elle emporta son maquillage et ses histoires folles de magie. Après cinq ou six heures de route, nous arrivâmes au port de Brest. En arrivant sur le bateau, nous installâmes nos bagages dans les chambres ; chacune d'elle avait un lit d'une place pour nous, elles étaient naturelles, soit la couleur du bois brut pour les murs ainsi que pour le parquet. Les draps étaient de couleur rouge, voire grenade, pour les définir elles étaient superbes. Toutes les pièces étaient grandes, la cuisine était assez moderne, en fait tout le bateau était à la pointe de la technologie. Puis après avoir tout posé nous avons mangé, puis vers cinq heures de l'après-midi, nous avons pris la mer.

Nous sommes partis très heureux, car nous allions voyager sur l'océan, regarder des poissons, des dauphins et tous les autres mammifères marins. Tous les jours nous regardions le soleil se lever puis mon père, voulait nous apprendre à naviguer ; c'est ce qu'il fit : un jour c'était notre frère, le jour suivant c'était ma sœur et le troisième jour c'était moi et tout recommençait. Ça faisait une semaine qu'on était en mer, mais notre père ne retrouvait plus la route, il décida donc de mettre l'ancre à la mer et de rester là pour la nuit, le temps de retrouver les coordonnées de leur chemin. Comme il était assez tard, nous sommes allés nous coucher. Il y eut pendant la nuit une grosse tempête, je ne pus dormir de toute la nuit. Le lendemain, notre mère découvrit que l'ancre s'était brisée et que nous avions dérivé de plusieurs miles, donc à cet instant nous étions entièrement perdus. Mon père prit la boussole et la découvrit folle, elle ne pouvait pas indiquer le nord ou toute autre direction que ce soit. Nous en déduisîmes que c'était l'emplacement du « triangle des Bermudes » ce que nous disait ma sœur. Nous avons continué pendant cinq jours droit devant sans savoir où nous allions. Au matin du cinquième jour nous découvrîmes, derrière un épais brouillard, une île se dessiner au loin. Nous prîmes la décision de nous diriger vers cette île sans peur.

Une fois posé le pied à terre, il fallait que nous fassions une exploration de cette île pour voir s'il n'y avait pas déjà de la civilisation. Nous partîmes donc à la recherche d'emplacements spécifiques pour nous nourrir. Nous fîmes deux groupes, celui de notre père avec ma sœur et moi, et l'autre celui de notre frère, notre mère et notre chienne Bill, car notre frère voulait être avec notre mère tout le temps et par conséquent avec la chienne. Notre père avait demandé à notre mère de vider le contenu du bateau puisqu'il était cassé au niveau de la coque à bâbord. Elle fit ce que notre père avait demandé.

Nous partîmes de notre côté vers la forêt pour y trouver de la nourriture, la forêt était dense et très sombre. Nous y avons passé environ trois heures quand nous avons trouvé une grotte où nous pouvions trouver un refuge en cas de tempête. En s'enfonçant de plus en plus dans cette grotte, nous y observions une très faible lumière dans le lointain. Nous nous dirigeâmes vers cette faible lumière, nous y trouvâmes la carcasse du vol 19 disparu depuis plusieurs années, mais n'ayant pas trouvé de squelettes nous pensâmes qu'ils avaient certainement survécu ; nous décidâmes de retourner au bateau puisque le ciel était en train de s'assombrir. En rebroussant le chemin nous avons aperçu des petites cabanes dans les bois qui pourraient nous servir de maison pour le moment. De retour au campement nous parlâmes à notre mère de cette découverte. Elle voulut qu'on aille dormir sur le bateau pour cette première nuit ; le lendemain matin on déciderait de ce que nous allions faire.

Donc, comme prévu, ma sœur et moi avions préparé nos affaires, pour aller explorer la grotte plus en profondeur. Ce matin là notre chienne Bill était venue avec nous même dans l'état qu'elle était, car elle n'allait pas tarder à mettre bas. Dans cette grotte nous entrâmes avec peu d'assurance, mais notre chienne entra (nous ne savons toujours pas pourquoi) dans la grotte. Nous fûmes obligées de courir après elle ; nous arrivâmes dans une pièces sombres ayant des écritures inconnues, des livres et un énormes symbole dessiné sur le sol. Mais des grognements nous firent prendre peur. Nous ne trouvions plus notre chienne. Nous préférâmes retourner vers la plage. Nos parents nous virent arriver en pleurs ; nous leur expliquâmes que nous venions de perdre Bill, ils essayèrent de nous remonter le moral.

Nous restâmes plusieurs jours avec nos parents pour les aider. Mais un matin notre frère cria de toutes ses forces, nous le rejoignîmes et découvrîmes notre chienne allongée sur le sol et en très mauvais état. Notre père décida de mettre fin a ses souffrances et lui retira les chiots de son abdomen il y en avait quatre.

La suite, c'est ma sœur qui vous la raconte.
 
 
Voilà c'est fini, j'espère que ça vous a plus, je vous dis à une prochaine fois, bonne journée.
 
C.D-V

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