Cher lecteur,
Aujourd'hui, je vous soumet cette nouvelle, on a écrit cette nouvelle durant l'atelier d'écriture de l'année scolaire 2006-2007, on était deux sur cette écrit. Cette partie que je vous offre c'est mon travail, je ne vous mets pas la seconde étant donné que c'est le travail du amie. Je vous laisse donc à votre lectures.
Nous
avons décidé, ma sœur jumelle, Ellye, et moi, Dawny Voltaire, de
vous raconter ce qui nous est arrivé, il y a tout juste un an. Nous
l'écrivons en souvenir de notre Éric qui est mort en nous sauvant de
cette île scientifiquement monstrueuse. Je vous raconterai la
première partie et ma sœur, la seconde. Chaque partie sera écrite
en fonction de ce qui nous caractérise, autrement dit ce qui nous
ressemble le plus.
Donc
un jour en plein été, notre mère Marguerite ayant gagné une
grosse somme d'argent à une loterie décida avec notre père de
louer un bateau pour deux mois et nous faire ainsi une surprise. Le
lendemain du début des grandes vacances, nos parents, ma sœur et
mon frère John ainsi que notre chienne Bill, partîmes vers six
heures du matin de la maison en voiture pour deux mois en mer. Nous
avions chacun ce qui était nécessaire, moi comme d'habitude j'avais
emmené tous mes livres sur la nature. Ma soeur étant très coquette,
elle emporta son maquillage et ses histoires folles de magie. Après
cinq ou six heures de route, nous arrivâmes au port de Brest. En
arrivant sur le bateau, nous installâmes nos bagages dans les
chambres ; chacune d'elle avait un lit d'une place pour nous,
elles étaient naturelles, soit la couleur du bois brut pour les murs
ainsi que pour le parquet. Les draps étaient de couleur rouge, voire
grenade, pour les définir elles étaient superbes. Toutes les pièces
étaient grandes, la cuisine était assez moderne, en fait tout le
bateau était à la pointe de la technologie. Puis après avoir tout
posé nous avons mangé, puis vers cinq heures de l'après-midi, nous
avons pris la mer.
Nous
sommes partis très heureux, car nous allions voyager sur l'océan,
regarder des poissons, des dauphins et tous les autres mammifères
marins. Tous les jours nous regardions le soleil se lever puis mon
père, voulait nous apprendre à naviguer ; c'est ce qu'il fit :
un jour c'était notre frère, le jour suivant c'était ma sœur et
le troisième jour c'était moi et tout recommençait. Ça faisait
une semaine qu'on était en mer, mais notre père ne retrouvait plus
la route, il décida donc de mettre l'ancre à la mer et de rester là
pour la nuit, le temps de retrouver les coordonnées de leur chemin.
Comme il était assez tard, nous sommes allés nous coucher. Il y eut
pendant la nuit une grosse tempête, je ne pus dormir de toute la
nuit. Le lendemain, notre mère découvrit que l'ancre s'était
brisée et que nous avions dérivé de plusieurs miles, donc à cet
instant nous étions entièrement perdus. Mon père prit la boussole
et la découvrit folle, elle ne pouvait pas indiquer le nord ou toute
autre direction que ce soit. Nous en déduisîmes que c'était
l'emplacement du « triangle des Bermudes » ce que nous
disait ma sœur. Nous avons continué pendant cinq jours droit
devant sans savoir où nous allions. Au matin du cinquième jour nous
découvrîmes, derrière un épais brouillard, une île se dessiner
au loin. Nous prîmes la décision de nous diriger vers cette île
sans peur.
Une
fois posé le pied à terre, il fallait que nous fassions une
exploration de cette île pour voir s'il n'y avait pas déjà de la
civilisation. Nous partîmes donc à la recherche d'emplacements
spécifiques pour nous nourrir. Nous fîmes deux groupes, celui de
notre père avec ma sœur et moi, et l'autre celui de notre frère,
notre mère et notre chienne Bill, car notre frère voulait être
avec notre mère tout le temps et par conséquent avec la chienne.
Notre père avait demandé à notre mère de vider le contenu du
bateau puisqu'il était cassé au niveau de la coque à bâbord. Elle
fit ce que notre père avait demandé.
Nous
partîmes de notre côté vers la forêt pour y trouver de la
nourriture, la forêt était dense et très sombre. Nous y avons
passé environ trois heures quand nous avons trouvé une grotte où
nous pouvions trouver un refuge en cas de tempête. En s'enfonçant
de plus en plus dans cette grotte, nous y observions une très faible
lumière dans le lointain. Nous nous dirigeâmes vers cette faible
lumière, nous y trouvâmes la carcasse du vol 19 disparu depuis
plusieurs années, mais n'ayant pas trouvé de squelettes nous
pensâmes qu'ils avaient certainement survécu ; nous décidâmes
de retourner au bateau puisque le ciel était en train de
s'assombrir. En rebroussant le chemin nous avons aperçu des petites
cabanes dans les bois qui pourraient nous servir de maison pour le
moment. De retour au campement nous parlâmes à notre mère de cette
découverte. Elle voulut qu'on aille dormir sur le bateau pour cette
première nuit ; le lendemain matin on déciderait de ce que
nous allions faire.
Donc,
comme prévu, ma sœur et moi avions préparé nos affaires, pour
aller explorer la grotte plus en profondeur. Ce matin là notre
chienne Bill était venue avec nous même dans l'état qu'elle était,
car elle n'allait pas tarder à mettre bas. Dans cette grotte nous
entrâmes avec peu d'assurance, mais notre chienne entra (nous ne
savons toujours pas pourquoi) dans la grotte. Nous fûmes obligées
de courir après elle ; nous arrivâmes dans une pièces sombres
ayant des écritures inconnues, des livres et un énormes symbole
dessiné sur le sol. Mais des grognements nous firent prendre peur.
Nous ne trouvions plus notre chienne. Nous préférâmes retourner
vers la plage. Nos parents nous virent arriver en pleurs ; nous
leur expliquâmes que nous venions de perdre Bill, ils essayèrent de
nous remonter le moral.
Nous
restâmes plusieurs jours avec nos parents pour les aider. Mais un
matin notre frère cria de toutes ses forces, nous le rejoignîmes et
découvrîmes notre chienne allongée sur le sol et en très mauvais
état. Notre père décida de mettre fin a ses souffrances et lui
retira les chiots de son abdomen il y en avait quatre.
La
suite, c'est ma sœur qui vous la raconte.
Voilà c'est fini, j'espère que ça vous a plus, je vous dis à une prochaine fois, bonne journée.
C.D-V
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